Les Critures
“ Cris en fritures de mots
Qui font lit
À la li
Ttérature au chapeau
Et à la plume au cul ”


Voici le pitche de chaque texte écrit, en cours ou en projet d'écriture. Le pitche (de pichoun = petit, prononcer pitchoun), c'est le petit résumé d'une histoire que l'on présente pour en faire la promotion.
photo de Tonton Dgé

BaR de la CorDeRie

Nouveau: BaR de la CorDeRie ou Histoire d’une drôle de Révolution

Comédie poélitique (poétique-politique) et poilante de Tonton Dgé qui confirme son goût pour les locals héros, les gens de peu, les sans rien, les simples ; des drôles qui ne parlent pas très bien, avec des mots du Sud d’ici... cliquer ici pour en savoir plus

Le Lexico’Constroy

Une centaine de mots et d’expressions qui relient le banal et le merveilleux de la personne humaine, en invitant à la constroy attitude et à la poétique de Pistil Baie. cliquer ici pour le Lexico' Constroy

Les Conférences Insolites

(l’Excraseur de Blattes)

C’est le titre que s’attribue tout Constroy qui se surprend à mener le combat tronchon tronchon contre la blatte humaine, et à participer ainsi à préserver l’Humanité d’un péril quasiment malin.

 

(La Croyable Légende de Bert Falcomochère)
en cours d’écriture
interactive

Un héros de notre culture méridionale et littorale. Un personnage rare, porté par la force de sa valeur archétypale et le charme de sa singularité. Homme d’un territoire, il est fondé à aimer le monde et à épouser son destin de Gouverneur du Var. - cliquer ici pour voir en détail -

(Le Clown vient du Chaman et vice versa)
en projet

Aeioyu est le premier être humain qui ait eu à consoler les membres de sa tribu devant le premier d’entre eux, tombé en marchant. C’était avant les mots, avant l’amour. Ils marchaient, ils marchaient depuis des lunes et des soleils, à travers montagnes et vallées, sous l’étoile du non retour, vers la dernière terre, le nez dans le parfum de l’air. Ils l’ont porté, ils l’ont monté en haut du tout dernier sommet duquel ils virent pour la première fois la mer. Aeioyu est un voyant de la nature; il levait les peurs et les maux en proférant des récits inspirés d’un au delà imaginé et intuitif jusqu’à ce jour où il eut à admettre et à aider à comprendre la mort.

Théâtre

(Maurice Dupain Maire de Pistil Baie)
Farce en 13 tableaux pour trois comédiens et une comédienne

Un citoyen français d’origine maghrébine est sur le point de gagner les élections de 2025 dans une ville du littoral français méditerranéen. Il est candidat du P.A.L (Parti Artistique Libérant) avec comme programme
7 axes poélitiques dont notamment le changement de nom de cette ville par celui de Pistil Baie. Pendant les quelques minutes d’attente d’un résultat annoncé comme favorable, il revoit des scènes marquantes de sa vie; tour à tour enfant, jeune et adulte dans des situations jaillissantes d’un contexte socio-politique local des années 60 à nos jours. Puis c’est le discours d’investiture “PistilBaïens, PistilBaïennes” qui fait tomber les murs qui séparent le Local de l’Universel ... ( plus d'infos cliquer ici )

(Bar de La Corderie)

La théâtralité d’un bar avec ses trois espaces scéniques : sa terrasse c'est le trottoir qui longe la rue, et la rue c'est le lieu de passage du monde extérieur. A l'intérieur, le comptoir avec d'un côté, la place privilégiée du patron, chef d'orchestre, metteur en scène et de l'autre, la salle du bar, l'endroit du peuple, de l'assemblée nationale, le lieu de l'entrecroisement d'autant d'histoires que de personnages. C'est là que la comédie de tonton Dgé fait de ces gens de peu, de ces sans grade, de ces parleurs du sud, piliers-porteurs de l’ambiance d’une époque, des héros. L'action se passe entre 1969 et 1981, du départ de De Gaulle à l’arrivée de Mitterrand. Le patron en est le personnage principal avec sa femme Dédée. Le bar se trouve être le théâtre du grand débat sur la Guerre Froide. Une folle passe et repasse devant ce bar de quartier tandis que l'histoire défile balisée de chansons crachottées par une vieille radio récalcitrante. Ce bar enfin va devenir le théâtre d'une drôle de révolution. plus d'Infos - cliquer ici

(Le Nageur de Pistil Baie)
En projet

Un citoyen ne trouve pas les espaces d’expression pour s’épanouïr librement dans sa ville: il n’y en a pas. Il se trouve empêché par un système qui n’a toujours favorisé que l’assujetissement à un clan idéologique dominant, et par des mesquins parvenus à exercer des pouvoirs de piètres notables. L’empêché rame dans la baie aux deux rochers; lesquels semblent tirer le cap Sicié et la ville tout entière vers l’horizon, et par delà, vers l’autre rivage. C’est une baie merveilleuse qui va lui permettre d’opérer la catharsis de cet empêchement citoyen. Et au plus il rame, et au plus il comprend l’étau dans lequel il évolue, et au plus les murs d’empêchement placés en décors de fond, s’ouvriront à l’harmonie de cette baie fertilisante; Pistil Baie. Aller passer entre les deux rochers sera l'aboutissement de son chemin initiatique et sa porte de salut.

Romans

(Le roman d’un Constroy)

Triptyque composé de trois histoires relatives à un personnage principal, le Constroy, qui prend tour à tour un nom différent, marquant ainsi les trois phases initiatiques de la devenance de la pleine personne:
*1) la fusion des sens jusqu'à la théâtralisation de sa propre mort
*2) la mise en projet jusqu'au choix de sa renaissance
*3) le passage à l’art jusqu'à l’avènement de son être citéal

 

(Un An avant le Mur)

Dans Un an avant le mur, le Constroy s’appelle Ouar. C’est le cri primal. Solidariste en politique et désirant solitaire en amour, il est touché par sa passion pour Lièna qu’il ne revoit plus. D’un été à l’autre, il apprend à se sortir de la douleur de son absence. Pour cela il écrit la première phase de son être en devenance, à l’issue de laquelle il finit par se suicider poétiquement pour mieux renaître de son lien défait.

 

(Les Yeux Secs)
en cours d’écriture

Dans la seconde phase, Les yeux secs, il est Artis. C’est l’être artiste qui entreprend sa vie comme une oeuvre. Il fuit l’amour sans désir de Silée. En pleine guerre des sources, la société a éclaté en tribus. Les Constroys quittent la capitale du théâtre où la population vient se nourrir de l’émotion consolidante insufflée par les spectacles, afin de résister à l’épidémie des yeux secs. Les hommes meurent par milliers davantage par manque d’amour juste, que par le manque d’eau généralisé qui sévit sur toute la planète. Les Constroys cherchent alors la dernière montagne depuis laquelle on voit la mer. Là, entre deux hauts rochers blancs, ils établissent leur camp et attendent de trouver le sens de leur errance.

 

(Pistil Baie)
en projet

Et enfin dans Pistil Baie, il se nomme Télo (qui signifie source, en ligure). Il a atteint la maîtrise de son déséquilibre, de son style. Il descend vers la mer jusqu’à une petite baie fertisante dans une ville où il y a encore à combattre avant de couler l’existence conviviale et dynamique à laquelle il aspire. Sous la pulsion de vie créactrice des Constroys, on assiste à une explosion de rites artistiques, culturels et citoyens et au mariage de la ville avec son théâtre. Et c’est au moment où Télo entreprend la Renaissance de La Sagno (c’est le nom de cette ville ravagée par la BH, la blatte humaine) en une démocratie locale libérante, qu'il finit par découvrir l’harmonie de la baie qui consacrera son accord parfait avec ce territoire: une baie pour y rencontrer l'amour fort et y puiser la force d'une identité locale débarrassée de ses murs d'empêchement.

   
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