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Photo:
Pascal Scaténa |
Être
en rade, on sait déjà que ça signifie “être en panne, en réparation, en repos, en quarantaine, en oubli, caché, protégé, immobilisé, coïncé, en paix, de passage ou en partance” Être en rade suppose que l’on vienne d’ailleurs, par la mer, en bateau, c’est être encore sur le plan d’eau, alors qu’ Avoir la Rade, c’est éprouver de ces états tout en habitant sur son pourtour, Toulon, La Seyne, Saint Mandrier, les pieds sur terre, les yeux sur mer. |
La
Rade, |
à propos du genre musical de Tonton Dgé, il explique qu'il poursuit comme un peintre avec ses couleurs, un dosage des sonorités qui lui correspondent au plus près : "...dans mon chant il y a de la ritournelle, de l'Italie, dans l'accompagnement guitare , il y a de la rumba sévillanne , de l'Espagne, dans les percussions et notamment la derboukha , il y a du Maghreb et enfin dans l'emploi du cistre (Cétérina modèle renaissance italienne réalisé par le luthier corse Ugo Casalonga) il y a le son de la méditerranée qui rappelle le oud, la mendoline ou le bouzoukhi." |
Quand Tonton Dgé chante, c’est poétique (Balade en Chansons) |
Quand Tonton Dgé écrit, c’est comédie et cinéma (Balade en Critures) | Quand Tonton Dgé créagit, c’est constroy (Balade en Vestigations) |
Le chaloupé permanent de l'Homme nu vers son ultime sourire |