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LA
CROYABLE LÉGENDE DE BERT FALCOMOCHÈRE
Gouverneur du Var ou ... Vous
pouvez participer à l’Écriture de cette Légende
historique qui fera date dans le Patrimoine Identitaire en me faisant part de - vos critiques, vos suggestions pour améliorer la cohérence des chapîtres déjà écrits. -
vos idées d’anecdotes, vos thèmes de petits ou grands
discours qu’aurait pû vivre ou dire notre héros, afin
d'inspirer -
vos propositions de nouveaux chapîtres en indiquant un titre Ce
travail pourra faire l’objet d’une Conférence Insolite
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CHAPîTRE 1 - Ce nom “Falcomochère” d’où ça vient? |
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Toute
ressemblance avec un ou plusieurs personnages réels, connus ou
inconnus ne serait que pure inspiration de l’auteur .
CHAPîTRE 1 - Ce nom “Falcomochère” d’où ça vient ? Je
vais vous parler d’un homme qui tire sa légende d’une
autre légende devenue populaire à la même époque
en pays espigoulais dans le haut var ; celle du phacomochère qui
est, comme chacun le sait, depuis le film “Les 4 Saisons d’Espigoule”
de Christian Philibert, un sanglier sauvage monstrueux, un phacochère
gros comme un âne mais en deux fois plus lourd. Ce mot "phacomochère"
introduit dans notre langue l’augmentatif sémantique omo
qui ne produit son effet d’exagération que lorsqu’il
est situé en plein mot, en intrafixe. On ne trouvera aucun autre
mot dans notre langue comportant cet intrafixe augmentatif. On le rencontre
uniquement dans ce que j’appelle des néotrilogismes résonnants,
lorsque l’intrafixe relie deux mots dont les sens respectifs se
mêlent pour éclairer le sens d'un troisième mot choisi
pour sa résonnance phonétique à un mot existant par
ailleurs. Par exemple, le mot loquomotive trouvé par jeu
de résonnance à locomotive, et qui comporte le sens de loque
et le sens de motivé. Ce qui produit en les mélangeant,
le sens suivant : personne hyper motivée pour se sortir de son
train-train quotidien de grosse loque. Les exemples ne sont pas légion,
en voici un autre ; chromozone, trouvé par résonnance
au mot chromosome ; il met en jeu le mot chrome, surface offrant
un miroitement éclatant, et le mot zone qui signifie endroit
aux limites géographiques caractéristiques pour donner finalement
naissance au sens suivant : endroit particulièrement remarquable
pour l’éclatante qualité de vie qu’il offre
à ses particules vivantes, ses habitants ; le contraire des banlieues-zones
de non-droit, par exemple. |
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CHAPÎTRE 2 - Les Origines des Falcomo |
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CHAPÎTRE
2 - Les Origines des Falcomo Le prénom Bert est commun. C’est un diminutif bien connu pour Robert, Bernard, Hubert, ou Norbert. À l’état civil, le prénom que lui donnèrent ses parents, ce fut Bert, tout court. D’après sa mère Lise Garnier, une provençale de souche, le couple désirait une fille qu’ils s’étaient préparés à appeler Berthe. Mais l’accouchement fut compliqué, Lise fut sauvée in extrémis, l’enfant aussi, un garçon de trois kilos deux. Elle sut illico qu’elle ne pourrait plus jamais avoir d’enfants, alors elle voulut conserver dans le prénom de son fils une référence à la fille attendue qu’elle ne pourrait jamais plus espérer mettre au monde. Le papa, Antoine Falcomochère, un homme aux traits fins et d’assez petite taille, conscient d’être passé à côté d’un grand malheur, ne vit rien à redire à cette initiative, au contraire. Mais mesurons tout d’abord l’origine de notre héros qui représente indéniablement un modèle d’acculturation Occitalienne. Sa première origine est callabrèse par son père et la seconde provençale par sa mère. À la fin du dix neuvième siècle, nous trouvons pour la première fois à Pignole, des Falcomo ; ce qui correspond à l’arrivée de la première vague d’immigration italienne. Le grand père de Bert, Fausto Falcomo dit Toto racontait ce qu’il tenait de son père Ernesto dit Toto, qui lui même, racontait ce qu’il tenait de ses aïeux : leur nom descendait d’un certain Giotto Falcomo dit Toto, comme nous le verrons plus loin. On peut se demander au passage si toutes les blagues de Toto qu’on se raconte petit, ne viennent pas de cette famille de Totos. Bon, passons ! Partons de son grand père Fausto qui comme bon nombre d’immigrés italiens, dut rivaliser de débrouillardise voire même d’intelligence pour s’intégrer et évoluer socialement. Il travailla sans compter comme maçon, puis comme carreleur, gagna beaucoup d’argent au point d’acquérir, avant la guerre de 14, une reconnaissance sociale populaire, qui fera résonner de plus en plus haut le nom des Falcomo. Plus tard, son fils Antoine dit Toine dit Toto, le papa de Bert donc, voulut vérifier par lui même le filon identitaire accroché au plus ancien d’entre eux, Giotto Falcomo. II se rendit directement à Naples et confirma le récit familial enrichi d’informations supplémentaires. Ce Giotto Falcomo avait bel et bien existé ; il était répertorié au muséum d’état civil, comme descendant d’un certain Marquis Umberto Di Falcono dit Toto, vivant au seizième siècle à Naples. Placé devant l’obligation du Royaume de Naples d’ôter sa particule Di, ce lettré éclairé saisit l’opportunité de cette contrainte pour changer une lettre à son nom, le n, en le remplaçant par un m. Il décide ainsi de détourner le sens étymologique de son nom. En effet, Falcono voulait dire en dialecte de l’extrême sud de l’Italie, “celui qui fait que faire le con" (le conard, quoi !) et tout à coup, Falcomo ne signifiait plus rien de dégradant socialement et conservait un augmentatif final omo, plus subtil que ono qui est plus usité et largement plus péjoratif. Les origines napolitaines des Falcomo sont donc confirmées par le père du petit dernier. Nous verrons comment ces racines joueront un rôle important le moment venu dans le lien avec la Mafia et dans le sens de la vie du petit Bert Falcomo appelé aussi Falcomochère 1er. |
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CHAPÎTRE 3 - Le petit Village de Pignole... |
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CHAPÎTRE
3 - Le Petit Village de Pignole La famille Falcomo habite le petit village de Pignole alors inconnu. Il s’est fondé autour d’activités essentielles comme l’exploitation du chêne liège avec lequel on confectionne l’indispensable bouchon de bouteille et également la production d’un excellent vin issu de l’ensoleillement des côteaux argileux, bauxiteux et calcaireux du massif des Maures et de l’Estérel. Avant la seconde guerre mondiale, c’est son père Antoine qui innova en créant la première entreprise de bouchonnerie du terroir, et en réalisant rapidement une petite fortune. Plus tard c’est Bert qui prendrait la suite, mais l’époque allait changer ; dans les années 60, avec l’extension de la viticulture et de la production de vins varois, des concurrents émergèrent à Collobrières ou à Villecroze et surtout à Pierrefeu. L’entreprise familiale de bouchonnerie devenait de plus en plus difficile à rentabiliser. Ce qui faisait alors la réputation de Pignole, c’était la façon toute particulière qu’avaient tous les Pignoleux et Pignoleuses de souche, au début du siècle, de prononcer le s. Tous les s sont prononcés th. Puis, cette manière s’était tout naturellement perdue ; le mimétisme langagier, c’est bien connu, ne se transmet pas au delà de deux générations. Il n’y a qu’à reprendre un des discours de Bert qui restait un des derniers porteurs, sinon le seul, de cette microculture linguistique (Place de Pignole, 24 mai 1979) : "Bon beh, oui nous pouvons parler de microculture car notre façon de prononcer le s, le ç, le x ou plus sporadiquement le ch, n’a rien à voir avec le vulgaire cheveux sur la langue, mais davantage avec le noble th anglais, certes mêlé un tant soit peu au f de notre belle langue de fatigué qu’est le provençal. Euhhhhh, j’ai fait jadis diligenter des recherches par une équipe de compétence qui montrent que cette caractéristique est historiquement liée à la tournée varoise en l’an 1892, de l’illustre Buffalo Bill ; lequel s’était établi à Pignole même, pour une durée de plus d’un an. A force de l’écouter parler, de le bader, là sur cette même place publique, il nous aura inculqué cette fameuse difeutongue qui fait aujourd’hui le charme de notre langage Pignoleux. Et pour la petite histoire, il faut savoir que notre façon de parler correspond à celle qui est encore aujourd'hui usitée dans l’État d’origine du célèbre tueur de bisons, je veux parler.., bon beh.., je le tente, euhhhhhh, de l’État du Matha.., du matchatha., du Matchathu.., euh bon beh, du Mathe..thu..thette." Il aimait tant à rappeler l’historicité de ce trait de caractère ; ça le rendait serein et fier, même s’il finissait toujours son exposé par un aveu amer et colérique : "Bon beh, il va sans dire qu’à Pignole, il est des mots sur lesquels nous ne pouvons malheureusement que trébuther. Mais, nous l’assumons naturellement, car c’est notre microculture." Et contre les moqueurs irrespectueux, il ne pouvait s’empêcher de pester: "Bon beh ça commence à force à me xcraser les figues pour de bon, de dire que j’ai un theveux sur la langue, car même, bon sang !" Oui, là vous venez d’entendre la version Pignoleuse de “casser les couilles”, car à Pignole, c’est important de le savoir, ça jure la plupart du temps par métaphores "fruits et légumes". Comme on le voit, ces anecdotes nous renseignent sur le tempérament de notre personnage. Il fait partie des indignés irascibles. Il est littéralement mordu d’une névrose de vérité : ça lui venait de là je crois, du fait que tout petit déjà, dès qu’il a commencé à parler, à faire des phrases, son entourage familial puis à l’école et dans le village, tout le monde constatait qu’il était porteur du th anglais, de cette marque de fierté Pignoleuse qui s’était perdue depuis un siècle et qui tout à coup ressurgissait par lui et redonnait un coup de fierté au village tout entier. Cette thèse n’était pas partagée par tous dans le village ; le docteur Direin par exemple, si vous l’interrogez, il vous démontrera l’hypothèse selon laquelle la fameuse coquetterie du th ne serait autre que la conséquence d’un aléa accidentel de l’enfance ; il prétend, témoins à l’appuie, tel le garagiste ou encore la coiffeuse, qu’un jour Bert quand il était encore bébé et alors qu’il ne connaissait pas encore la station debout, eut porté malencontreusement à sa bouche, une chenille processionnaire du pin. Le résultat, tous les scientifiques le valident sans exception, le professeur Sétou de Marseille en tête, et bien que Lise et Toine aient toujours refusé la moindre expertise, eh bien, le résultat, c’est que la langue du caganiou a, ce jour là, subi au contact de l’acide formique de l’insecte velue, une lésion minime certes mais suffisante pour causer avant même qu’il ne parle, ce qui deviendra assez vite un fameux zozotage. D’autres encore, davantage parmi ses collègues de jeunesse soutiennent eux que cette coquetterie viendrait du fait que Bert était doté d’une disproportion morphologique caractérisée par une langue proéminente dans un palais trop petit. Si vous croisez Bert un de ces jours, vous pourrez éventuellement vérifier la pertinence de cette observation ; si seulement vous parvenez à lui faire tirer la langue ! Vous verrez que l’animal n’ouvre jamais la bouche ; quand il baille il ne manque jamais de cacher son aspiration grimaçante d’une main polie. Rien de plus normal dira-t-on mais vous pourrez vérifier par ailleurs qu’il ne rit aux éclats qu’en privé. Enfin une rumeur peut faire taire toutes ces thèses ; il se dit encore à Pignole aujourd’hui que Buffalo Bill aurait eu une liaison amoureuse avec l’arrière grand mère maternelle de Bert, ce qui ferait de lui un descendant direct du héros du Far Ouest américain. Et quand on sait qu'il deviendra l'homme du Var Ouest, on se dit : "tiens y a quelquechose là non ?" On peut penser que cette transcendance l'aura dévoyé d’un destin ordinaire pour en faire un épris de vérité et de liberté, un défenseur des dignités culturelles, et plus tard un tueur de conards. Oui parce que chez nous, petite parenthèse, comme il se plait à lancer tant à la fin d’un simple repas qu'au cours d’un apéritif interminable : “faute de bisons, je tire les cons !” Oui, bon, c’est pas sa meilleure, il est vrai, mais cette mièvre billevesée lui vaut d’être vénéré par l’ensemble des licenciers de la plupart des sociétés de chasse du département et au delà, de celles de la région PACA. C’est ainsi qu’au tout début de sa carrière politique, dans sa période rurale, on sentait poindre des motivations si profondes en lui qu’elles finirent par le propulser toujours plus haut et toujours plus fort. Son père n’avait pas qu’un talent d’entrepreneur entreprenant, mais tout comme le père de Mozart, il s’occupa très tôt de cultiver les dons de justicier et de libérant de son jeune enfant. |
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CHAPÎTRE 4- La Bête Politique que c’est ! |
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CHAPÎTRE 4
- La Bête Politique que
c'est, oh ! Vive notre département
vert azur et or Ah, il en avait des formules, pas toujours appréciées notamment des rouges, les cosaques comme il disait ! Ceux-ci allaient volontairement le provoquer dans ses tournées varoises, en ponctuant ce magnifique plaidoyer territorial par des choeurs entiers de “ fin counass”. Le problème,
c’est que pour changer le nom du département, il faudrait
changer de numéro et de ce fait, décaler tous les autres
: une vraie révolution numérique qui est difficile à
imposer, même par l’État ! Ou alors il faudrait changer
le nom de la rivière tout en gardant le V, pour pas chambouler
les numéros: ça pourrait donner le Vas. Mais ça
lui plait pas à Bert; ça ferait des habitants vaseux et
vaseuses. Ou alors, pour contourner la difficulté, il y a aussi
la proposition de l’Argens qui ferait un peu opération
mains propres "argensains, argensaines" ou encore la proposition
tendance latino-américaine du Gapeau qui donnerait "gapeaillouns,
gapeaillounes" |
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CHAPÎTRE 5 - Voyage à Katmandou... |
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CHAPÎTRE 5
- Voyage à Katmandou De retour à
l’aéroport, il apprend qu’il n’y a pas d’avion
pour Calcutta avant quatre jours. Il lui faut marcher jusqu’à
la gare de marchandises, de l’autre côté de la ville.
Il est capté par la pauvreté de cette civilisation. Il
se renseigne. Il y a bien une ligne de chemin de fer qui pourra le mener
à Katmandou, mais en une dizaine de jours par la ligne Jabalpur,
Mirzapur, Ratna. Cela serait, d’aprés une carte affichée
dans le bureau des renseignements, au moins trois fois plus long que
par Calcutta et la ligne Asansol, Gaya, Ratna, Muzaffarpur, Mofihan,
Srgouli, Katmandou. Que faire, il n’a pas d’autre choix,
il devra attendre. Quatre jours à Calcutta et puis après
il lui resterait quatre autres pour atteindre Katmandou. Toutes les
personnes auprès desquelles il se renseignait, lui indiquaient
qu’aucun étranger, pour aller à Katmandou, n’étaient
jamais passés par la voie de l’Ouest, mais bel et bien
par Calcutta-Asansol. Cela confirmait bien les conseils insistants de
l’américain rencontré rue du canon à Toulon.
Bert éprouva
sans doute ce qu’aucun autre humain, ce qu'aucun autre grand aventurier
ne connaitrait jamais dans sa vie terrestre et même au delà.
Ce coquin découvrit, sous l’expertise de sa sacrée
partenaire, tout du Kamasuthra hindou de l’amour : le Muqeuzenchanthra,
ce qui signifie la muqueuse enchantée. Bref, ils se mangèrent
à toutes les sauces, flanc, chantilly, vin de neffles, carottes
crues et gros radis, durant tout leur voyage en l’air. Et d’après
les carnets de notre héros, celui-ci ne fut pas en reste dans
l’initiative, puisqu’il inventa fortuitement une figure
de style originale qui atteint Shidlaï en plein point G, et la
révéla à sa grande extase de femme-fontaine. Bert
bâptisa cette figure, La Manon, en référence, vous
l’aurez deviné, à Manon des Sources. Cette figure
de réthorique sexuelle, n’est pas qu’une posture
nouvelle mais un gaùbi, un doigté, un seinti
, une inspiration en la matière. L'enthousiasme extraverti de
Shidlaï propagea très vite dans tout le pays la performance
du français. Ah si Gandhi avait pû connaître cette
grâce sexuelle, peut-être n’aurait-il pas fait voeu
de chasteté ! La Manon finit par être validée
par le haut conseil du “Sylkultepléalortulprandhra”.
Oui, ils ont des mots longs là-bas et en plus ils en ont des
moulons de mots longs, et en plus celui là, je l’ai coupé,
il finissait par -biyin : oui le nom entier ça faisait
“Sylkultepléalortulprandhra-biyin”! Et La Manon
figure donc désormais dans le livre du Muqeuzenchanthra,
signe de l’inspiration exceptionnelle dont était capable
notre Bert. Ensuite, Shidlaï obtint l’autorisation de son
père pour accompagner son beau varois de français à
Katmandou; ceci afin de favoriser sa recherche d’un jumelage entre
Pignole et la Cité du Plaisir Fumant, comme l’appelaient
déjà dans leurs différents récits, les étrangers
qui y séjournèrent avant même la grande période
du tourisme culturel mondial qu’elle généra. Sûr
que la rencontre puis la venue du couple franco-indien Bert-Shidlaï
fut déterminante pour une bonne part dans l’éclosion
cosmopolite de la petite bourgade népallaise. |
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AUTRES CHAPÎTRES À VENIR |
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Autres
Chapïtre à venir 7 - Enfin Maire de Pignole; contexte électoral du référendum pour la régionalisation. Rixes de colleurs d’affiches gaullistes contre les partisans du SAC. Emploi de la sarbacanne à l’aillé. De nerveux il passe à cool sans plus jamais fumer le Pistil. Il devient maire de Pignole au moment où De Gaulle perd le référendum de 1969. 8 - Ministre de la
Canicule: montée sur Paris en dilligence, la circulaire aux séniors,
ses passages sur les plateaux TV, sa crise de nerf en direct à
l’assemblée. ... Vous pouvez participer à l’Écriture de cette Légende historique qui fera date dans le Patrimoine Identitaire de notre Territoire de Larade: en me faisant part de: - vos critiques, vos suggestions pour améliorer la cohérence des chapîtres déjà écrits. - vos idées d’anecdotes, de petits ou grands discours qu’aurait pû vivre ou dire notre héros, pour peut être inspirer l’écriture d’un nouveau § ou enrichir un § déjà existant. - vos propositions de nouveaux chapîtres en indiquant un titre et un pitche de 1 à 5 lignes, pas plus, et si possible avec les thèmes des sous-chapîtres. Merci, Tonton Dgé |
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